Comment survivre à la fin du monde ?
Avec l’instabilité environnementale et politique, il est naturel de se demander comment survivre à la fin du monde. Ce guide vous donne les éléments clés pour parer aux scénarios les plus catastrophiques, en incluant des conseils pratiques sur la préparation matérielle et mentale ainsi que sur les stratégies pour maintenir une communauté solide.
Pourquoi la fin du monde est proche ?
Se préparer matériellement
Afin d’affronter au mieux un effondrement mondial, il est fondamental de disposer des ressources nécessaires pour subsister. La première étape consiste à constituer une réserve de nourriture et d’eau potable. Veillez à stocker des aliments non périssables tels que des conserves, des céréales ou encore des aliments lyophilisés. Pour ce qui est de l’eau, prévoyez plusieurs litres par personne et par jour, sans oublier de prendre en compte les besoins en eau pour l’hygiène et la cuisson des aliments.
En cas de catastrophe, les infrastructures pouvant être endommagées, il est important de disposer d’un abri sûr et durable. Dans cette optique, les bunkers sont particulièrement adaptés pour résister aux différents scénarii de fin du monde. Les prix pour construire un bunker varient en fonction de sa taille et de ses équipements : pour obtenir une estimation précise du coût de votre futur refuge, consultez le site Prix d’un Bunker. Cet investissement pourra s’avérer crucial pour assurer la survie de votre famille.
Enfin, n’oubliez pas d’équiper votre abri des outils et équipements indispensables :
Développer des compétences essentielles de survie
Maîtriser les techniques de base
Que vous soyez abrité dans un bunker ou contraint de vivre en plein air, il est fondamental de connaître certaines compétences qui augmenteront vos chances de survie. Les principales techniques à maîtriser sont :
- Faire du feu sans allumettes ni briquets
- Purifier de l’eau non potable (par ébullition, filtration ou traitement chimique)
- Monter un abri temporaire avec des matériaux disponibles (bâches, branches, etc.)
- Se repérer et s’orienter en milieu naturel (utilisation d’une boussole, lecture de cartes, observation des astres)
- Soigner les blessures de base et premiers soins (pansements, sutures, etc.)
Apprendre à cultiver ses propres aliments
Dans un monde dévasté, les ressources alimentaires seront probablement rares. Pour assurer votre autonomie, il sera donc essentiel d’apprendre à cultiver vos propres fruits et légumes. De nombreuses techniques existent pour réaliser un potager efficace quel que soit l’espace disponible : permaculture, culture en carré, utilisation de bacs ou jardinières, etc. Vous pouvez également envisager d’élever des animaux comme des poules pour leurs œufs ou des chèvres pour leur lait.
Afin de diversifier au maximum votre nourriture, songez également à vous initier à la cueillette des plantes sauvages comestibles et à la pêche, à condition de respecter les éventuelles réglementations locales.
Créer et entretenir une communauté solidaire
Même si la préparation individuelle est primordiale, l’union fait la force en période de survie. La coopération et le partage des compétences et ressources entre personnes permettront d’affronter ensemble les défis du nouveau monde. Il sera important de :
- Tisser des liens avec ses voisins dès maintenant
- Participer à des événements locaux sur la thématique de la survie
- Echanger des conseils et astuces avec d’autres adeptes de la préparation
- Envisager de créer un réseau de contact à l’échelle régionale ou nationale
Le maintien d’une culture solidaire et coopérative, ainsi que l’apprentissage des savoir-faire ancestraux (fabrication d’outils, élevage, agriculture) seront indéniablement bénéfiques en cas d’effondrement global.
Favoriser la transmission des connaissances
Pour assurer la pérennité d’un mode de vie autonome, il sera crucial de transmettre les compétences acquises aux générations futures. Cela passera par l’organisation de cours et ateliers pour les enfants et adultes, la mise en place d’espaces dédiés au partage du savoir (bibliothèques, centre de documentation) ainsi que la valorisation des initiatives communautaires.
Une bonne préparation, une formation aux compétences essentielles et le développement d’une communauté sont donc les clés pour affronter et survivre à la fin du monde. La tâche peut sembler ardue, mais avec une planification adéquate, elle est tout à fait réalisable.